Publié le 26 Mai 2011
Je guettais toujours les collines chauves et les demeures inhabitées. Sans toi il n'y avait pas d'espace entre moi et la nuit. Quoi répondre au chant qui nous appelle dans le syncrétisme de l'aurore ambrée. Rien ne bouge ici. L'envie de se fondre et disparaître...